Nous sommes le 18 octobre. II est 7 h 25 du matin, il fait -4 et je m’apprête à faire une course de 10 km.
Dans l’énoncé ci-dessus, ce qui m’interpelle le plus, c’est la température. La dernière fois que je me suis entraînée, il y a 6 jours, il faisait 22! Je ne suis pas équipée pour courir dans le froid. Je n’ai aucune idée de comment je vais survivre!
Si je partais en randonnée, je mettrais un manteau et des grosses chaussettes. Mais là, courir en manteau? Et puis, mes grosses chaussettes ne rentrent pas dans mes chaussures de course! Ah, quel dilemme pour un dimanche matin. Il faut vraiment ne pas avoir de problèmes plus importants à gérer pour se mettre dans une situation pareille.
Tiens! C’est vrai, je N’AI PAS de problème plus important à gérer. La vie est belle. Je vais peut-être revenir avec des engelures et ce sera encore le problème le plus important que j’aurais à gérer! C’est « cool » finalement et c’est le cas de le dire, en plus.
Ne pas s’arreter , et quel bonheur , quand on rentre au chaud , avec un bon chocolat chaud et des tartines , alors qu’il continu a fairef roid dehors .
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Je ne me suis pas arrêtée. J’ai couru 10 km en 1 h 01. Faut le faire! Je n’ai pas perdu de morceau en route (doigt, nez, orteil…)
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Bravo, personnelment,j’ai arrete de courrir, pasquej ecourais beaucoups, je suis passé au VTT.
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Prendre conscience que les petits problèmes n’en sont pas, c’est déjà s’ouvrir à l’émerveillement 🙂
Cela dit, bravo pour la course, je suis admirative !
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Merci! 🙂
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